Qu’est-ce que le tennis elbow?


Le tennis elbow est une douleur latérale au coude. Il s’agit toutefois d’une mauvaise appellation puisque ceux qui en souffrent ne jouent généralement pas au tennis. Le vrai terme la tendinopathie des extenseurs de l’avant-bras, car elle touche la partie de l’os huméral nommé épicondyle. À cette partie de l’humérus s’attachent les tendons des muscles extenseurs du poignet et des doigts.

Les symptômes

Les symptômes apparaissent lorsqu’il y a surcharge sur ces tendons. Des gestes comme la préhension, le redressement des doigts et le mouvement du poignet vers le haut (extension) sont responsables de cette tendinopathie. Ainsi, ces mouvements répétés souvent ou une surcharge appliquée sur ses tendons combinés à un temps de repos trop court peuvent endommager les tissus et créer de la douleur. Citons quelques exemples des tâches pouvant causer une épicondylite : travailler à l’ordinateur avec la souris, tous les travaux avec des outils comme un marteau, pinceau et perceuse, des sports des lancers très fréquents, etc.

Le traitement

Le traitement de l’épicondylite latérale passe malheureusement par l’arrêt des mouvements responsables. Si cela n’est pas fait, les tendons peuvent subir des changements comme la formation de tissu cicatriciel, un épaississement ou même des déchirures. Ensuite, la cryothérapie et des exercices d’étirement prodigués par un chiropraticien ou un physiothérapeute sont de mises. Pour les cas chroniques, une attelle peut être prescrite afin de limiter les tensions sur les muscles extenseurs. Si l’on attend trop longtemps avant de traiter l’épicondylite, elle peut être plus difficile à traiter.

Pour tous ceux qui font des activités à risque, une bonne prévention est importante. Elle consiste à s’assurer d’un poste de travail ergonomique et de quelques exercices d’étirement quotidiens.

RÉFÉRENCES
http://www.cchst.ca/oshanswers/diseases/tennis_elbow.html
http://sante.canoe.ca/condition/getcondition/coude-du-joueur-de-tennis

Douleur au visage et à la tête


Vous souffrez fréquemment de maux de tête, de migraines, d’étourdissements? Vous avez mal aux yeux? Vous ressentez des douleurs dans le visage? Ces problèmes vous limitent dans vos activités, votre travail, votre vie sociale?

Saviez-vous que l’équipe de PERFORMANCE SANTÉ peut vous aider?!

Les maux de tête sont des problèmes complexes qui se classifient selon la Société Internationale des Maux de Tête en plus de 100 différentes catégories. Les atteintes les plus communes sont les migraines, les céphalées de tension et les céphalées cervicogéniques.

La dysfonction mécanique de la région cranio-vertébrale, soit les articulations entre le crâne et les premières vertèbres cervicales C1 à C4 sont souvent en cause dans les problèmes de douleurs oro-faciales et de maux de tête. Une dysfonction de cette région de la colonne vertébrale peut causer une irritation du système nerveux sympathique (partie du système nerveux qui contrôle notre corps de façon autonome); une insuffisance vertébro-basilaire (problème de circulation dans le tronc cérébral) ou une dysfonction des propriocepteurs cervicaux (les cellules qui sont placées dans les articulations et qui nous donnent des indications du positionnement de notre cou dans l’espace).

S’ajoute aussi à la dysfonction de la région cranio-vertébrale des dysfonctions de l’articulation de la mâchoire (ATM) et des nerfs crâniens (les nerfs qui contrôlent le visage, yeux, bouche etc.).

Un physiothérapeute formé en douleurs oro-faciales peut vous aider!

Arrêtez de souffrir et prenez un rendez-vous afin que l’on puisse commencer dès maintenant à vous aider!

4 suggestions pour conserver vos genoux en santé en ski ou en planche à neige


Aimez-vous l’hiver? Une bonne façon d’apprécier (d’une certaine façon) les bons côtés du refroidissement de la température et l’arrivée des flocons est sans aucun doute la pratique des sports de glisse. Cependant, les sports comme le ski et la planche à neige sont très exigeants pour les articulations, les muscles et les tendons.

Alors, si vous voulez éviter de vous abimer le fameux LCA (ligament croisé antérieur) ou encore si vous désirez garder vos ménisques sains et saufs cet article est pour vous.

Selon la littérature, un entrainement pré-saison spécifique serait idéal pour prévenir les blessures et pour préparer vos muscles à soutenir vos articulations et ligaments correctement. On parle ici de squats, de fentes et d’exercices d’équilibres principalement.

Tout d’abord, on dit s’échauffer. Un échauffement efficace en préparation pour un sport est composé de mouvements dynamiques et fonctionnels (qui ressemblent aux mouvements effectués durant le sport). Idéalement, on prend 10 minutes et on fait ça en haut de la montagne avant la première descente.

Prenez la première descente pour exagérer les mouvements et préparer votre corps. Ensuite, skiez en respectant vos limites. L’équipe de l’école de glisse du Mont Orford est toujours disponible pour des cours d’appointements.
Finalement, la dernière descente doit être prise au sérieux! Ce n’est malheureusement pas un mythe, beaucoup d’accidents se produisent lorsque le corps est fatigué.

La Clinique Performance Santé est une clinique multidisciplinaire spécialisée en prévention, détection et traitement des blessures sportives. Donc, si vous avez une blessure au genou, ou encore un choc au cou ou à la tête, il est important de consulter. Tel que publié par l’Association des chiropraticiens du Québec dans un article portant sur le même sujet : « Le chiropraticien et le physiothérapeute, de par leur formation universitaire, est un choix tout indiqué pour faire l’évaluation de la condition et proposer le traitement approprié. Il saura vous référer au bon endroit si le problème nécessite des soins plus spécialisés et prendre en charge la vaste majorité des blessures reliées à la colonne vertébrale ».

Avec ces conseils vous pourrez skiez prudemment et vous amusez plus longtemps sans douleur. Bonne glisse!

Le Syndrome fémoro-patellaire


C’est quoi ?

Tout d’abord, il est important de savoir que l’articulation fémoro-patellaire se situe à la région antérieure du genou, entre la patella (rotule) et le fémur. Le syndrome fémoro-patellaire est caractérisé par une douleur à la face antérieure ou latérale du genou causée par une irritation de l’articulation. La douleur apparaît avec certains mouvements, par exemple lorsque l’on monte ou descend les escaliers et lorsque l’on reste assis ou accroupi de façon prolongée, mais est souvent observée lors de la pratique de certains sports, comme la natation, le vélo et la course.

Les causes

Le syndrome fémoro-patellaire peut être dû à de multiples causes. Il peut être secondaire à un choc direct sur la patella ou à une modification de l’entraînement, qui comprend une augmentation de l’intensité, une diminution du temps de repos et un changement d’exercices.

Il peut également être causé par des troubles biomécaniques, tels qu’une torsion fémoro-tibiale et un valgus augmenté. Ce syndrome implique habituellement un déséquilibre des forces musculaires comme une faiblesse de la portion interne du quadriceps, une faiblesse des fessiers et un manque de souplesse musculaire et de la bandelette ilio-tibiale.

Une instabilité de la patella peut aussi être à l’origine de la douleur. Elle est souvent causée par des luxations et des subluxations à répétition de la patella, le plus souvent du côté externe.

Tous ces troubles affectent les forces de part et d’autre de la patella causant un stress important sur cette dernière. Cela a pour effet de modifier l’alignement de la patella lors du mouvement du genou.

En plus de ces causes, un cycliste peut être plus à risque d’avoir cette problématique s’il a un vélo mal ajusté et une mauvaise technique, ce qui peut entrainer une mauvaise position du corps, causant par la suite des blessures.

Traitement

Le traitement inclut de l’étirement, de l’amélioration de la stabilité dynamique et du renforcement des muscles faibles pour rétablir l’équilibre des forces agissant sur la patella afin d’assurer le mouvement adéquat de celle-ci.

Un bon entraînement préparatoire intérieur réalisé plusieurs semaines avant votre première sortie peut également diminuer les chances de blessures.

Pour une bonne gestion de cette problématique, il est important d’être évalué par un physiothérapeute ou un chiropraticien pour cibler les déficits à l’origine de la douleur, en plus de faire bien ajuster votre vélo par un spécialiste. Ce dernier ajustera votre vélo selon votre poids, grandeur et style de cycliste, ce qui réduira les risques de blessures.

Quelles sont les principales blessures par le froid et comment les prévenir ?


L’hypothermie c’est…

Les 4 stades de l’hypothermie

Comment prévenir l’hypothermie ?

Il est important d’avoir un habillement adéquat.

S’habiller en trois couches :

Il est important de bien s’alimenter et de s’hydrater adéquatement, de toujours avoir de l’eau sur soi, car en hiver nous ne sentons pas nécessairement la soif. Il faut également gérer votre niveau d’activité et votre itinéraire dans le but de vous réchauffer si vous venez à trop avoir froid ou que vos vêtements sont détrempés. De plus, sortir en groupe afin d’augmenter le plaisir et la sécurité.

Gelures

Les gelures sont des lésions dues au froid et touchant majoritairement les orteils, les doigts et la figure. Elles se produisent à des températures inférieures à 0 degrés.

Deux types de gelures

Symptômes

Prévention des engelures

Comment survivre à l’hiver et même savoir comment en profiter


La période hivernale est, pour certains une saison moins appréciée de l’année, mais est-ce pour les bonnes raisons? Pour certaines personnes ce moment de l’année rime avec pelletage excessif, maux de dos, chutes sur la glace et confinement à l’intérieur.

Saviez-vous qu’il existe des manières de prévenir ou de diminuer les blessures et les chutes, et ainsi, pouvoir bien profiter de l’extérieur de manière plus sécuritaire?

Voici quelques conseils qui pourraient vous être utiles pour passer à travers cette rude saison:

Sports d’hiver

Saviez-vous que les sports hivernaux tels que le ski alpin, la planche à neige, le patin et le ski de fond sont des sports nécessitant une bonne préparation et un bon échauffement comme tout autre sport.

En début de saison ou même avant, il peut être très utile et pertinent de recommencer certains exercices stimulant les muscles sollicités par notre sport hivernal favori par exemple :

De plus, il est très important de prendre une dizaine de minutes pour bien échauffer les muscles juste avant de débuter le sport soit par une marche rapide, quelques coups de patin, quelques sauts sur place, des changements de directions afin de diminuer les risques de blessures musculaires.

Pelletage

Voici quelques petits conseils pour réduire les risques de blessure lors du pelletage :

Attention à la glace

La glace est sans doute le pire fléau de l’hiver lorsque nous ne sommes pas bien préparés. Pour réduire le risque de chute sur la glace, mieux vaut être bien équipé :

En espérant que ces petits trucs vous aideront à mieux apprécier votre hiver.

Psoas et vélo : Le saviez-vous ?


Tout d’abord, qu’est-ce que le psoas ? Le psoas est un muscle fléchisseur de la hanche, il est donc par le fait même l’un des 6 muscles utilisés lors du moulinage en vélo.

 

– Phase 1 : grand fessier suivi du quadriceps
– Phase 2 : mollet suivi du tibial antérieur
– Phase 3 : ischio jambiers
– Phase 4 : psoas

 

 

Bien plus souvent qu’autrement, nous oublions à quel point il est primordial de prendre soin de ses muscles. Saviez-vous qu’une tension du psoas peut
réellement affecter votre confort au quotidien ? Comment est-ce possible ? Si la tension au niveau de vos psoas est bilatérale, elle peut apporter une flexion du tronc vers l’avant par rapport aux jambes (flessum). Ce flessum est une perte d’amplitude lors de l’extension de la hanche. Ce n’est pas toujours visible, car il est souvent compensé par la colonne vertébrale, ce qui à la longue amène des douleurs au bas du dos.

Comment cela se produit- il ? Afin de permettre l’extension complète de la hanche, la colonne lombaire vient creuser davantage au niveau du bas du dos, créant ainsi une hyperlordose. Cette dernière est souvent la source des douleurs lombaires.

Alors, comment éviter un inconfort au bas du dos ? Tout d’abord, il faut s’assurer d’avoir une position adéquate sur son vélo. Pour ce faire, vous pouvez vous rendre dans un magasin spécialisé afin qu’ils ajustent votre selle et la position de votre guidon. Par la suite, rien de tel qu’un bon étirement à la fin d’une séance d’entrainement afin de relâcher les tensions dans le muscle et ainsi gagner en confort.

La kinésithérapie : un traitement efficace pour les femmes enceintes


La plupart d’entre vous connaissent des femmes qui se sont plaintes de douleur au dos ou aux jambes pendant la grossesse, et c’est bien normal. Le corps, pendant cette période, supporte une charge supplémentaire en avant dont il n’est pas habitué au quotidien. Il existe donc un débalancement du centre de gravité vers l’avant en amenant un travail supplémentaire des muscles dorsaux afin de maintenir l’équilibre. La sur-sollicitation de ceux-ci est donc la cause de certaines douleurs ressenties chez les femmes enceintes.

Lors de la grossesse, plusieurs zones musculo-squelettiques sont très sollicitées comme la région lombo-sacro-iliaque se situant dans le bas du dos, la région dorso-thoracique et les épaules au niveau du haut du dos. Les traitements en kinésithérapie peuvent s’avérer une excellente avenue pour soulager les inconforts et les douleurs.

Objectifs d’un traitement de kinésithérapie chez la femme enceinte

Le traitement s’effectue en position ¾ ventrale, qui est normalement très bien supportée par la femme enceinte, en associant massage et contractés relâchés. Étant donné que lors de la grossesse le haut du dos à tendance à cyphoser (se replier vers l’avant), le massage de détente est à prioriser pour la région dorsale et pectorale. Des exercices posturaux et proprioceptifs sont également prescrits pour poursuivre le travail fait en clinique.

Il est également important qu’elle se masse quotidiennement le ventre et les seins afin de diminuer l’apparition de vergetures. Les pieds, la zone lombo-sacrée ainsi que la région scapulo-thoracique (omoplates) sont également à prioriser et toutes ces techniques assurent également un meilleur retour sanguin. La femme enceinte se devra de maintenir les effets du traitement grâce aux exercices prescrits par le kinésithérapeute à la maison.

Dufour, P. Colné, P. Gouilly, MALOINE 2006, Massage et massothérapie 2e édition, p.359-361

L’importance de bouger chez les personnes arthritiques


L’arthrite est une maladie auto-immune, dans laquelle les anticorps de l’organisme attaquent ses propres articulations causant de l’inflammation, de la douleur et de l’œdème. 4,5 millions de Canadiens en sont touchés. On compte plusieurs sortes d’arthrite et chacune d’elle a ses articulations de prédilection. Par exemple, l’arthrite rhumatoïde touche principalement les mains alors que la spondylite ankylosante se situe plus dans le bas du dos.

Malheureusement, les différentes arthrites ne se guérissent pas : ils se contrôlent. Un moyen efficace pour les contrôler est l’activité physique régulière adaptée. Cela peut sembler contradictoire, car, lorsque les articulations nous font mal, nous n’avons pas vraiment le goût de bouger. Toutefois, de plus en plus d’études démontrent les bienfaits de l’exercice. Par exemple, les muscles, les ligaments et les autres tissus articulaires se renforcent en bougeant. Le mouvement des articulations favorise l’absorption des nutriments par les cartilages et les aide à se débarrasser de leurs déchets. L’activité physique améliore la gestion de la douleur et permet de maintenir un poids santé (ce qui diminue à charge pondérale aux articulations).

L’important quand on veut commencer un programme d’exercices est de consulter un professionnel de la santé qualifié afin qu’ils nous prescrivent un programme adapté. On s’assure ainsi de maximiser les gains sans se blesser. Ces programmes personnalisés cibleront les articulations touchées afin de garder le maximum d’amplitude de mouvement, de souplesse et de force.

Les engourdissements dans la main


Les engourdissements à la main appelés dysesthésies peuvent avoir plusieurs causes. Elles sont principalement en lien avec les différentes structures nerveuses du membre supérieur et des régions cervicales et thoraciques associées.  Les quatre principales sources seront élaborées soit : la compression radiculaire (problème cervical), le défilé thoracique, le tunnel carpien et les lésions nerveuses périphériques (le long de leur trajet dans le bras).

La compression radiculaireeng.main.mel

La sensibilité et la force des bras (mains, coudes et épaules) proviennent des nerfs qui émergent de votre cou. La forme des vertèbres permet qu’entre chacune d’elles, une racine nerveuse (l’origine des nerfs périphériques) puisse sortir du canal où se trouve la moelle épinière.

L’espace peut être réduit physiquement par une atteinte discale, de l’arthrose des articulations postérieures ou par un dérangement ou blocage de l’articulation tel que retrouvé dans un torticolis. L’inflammation peut également altérer la conduction nerveuse.

Les symptômes d’engourdissement apparaîtront alors dans le territoire innervé par la racine associée :

Par exemple, si votre index et majeur sont engourdis, mais pas votre annulaire et auriculaire, votre nerf cervical 7, associé à l’espace entre vos vertèbres cervicales 6 et 7(C6-C7) peut être atteint. La circulation d’information électrique et chimique dans le nerf est alors altérée et se présente sous forme d’engourdissement des doigts.eng.mains.mel2

 

Défilé thoracique

Après être sorti des espaces entre les vertèbres, les nerfs convergent vers une région appelée le plexus brachial ou seront effectués des relais vers le membre supérieur pour l’innerver.  Physiquement ce relais se situe sous votre pectoral jusqu’à votre aisselle.

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Cet espace peut devenir restreint et comprimer partiellement les nerfs dans certaines régions ou encore la circulation sanguine.  Les symptômes seront alors plus diffus et pourraient se retrouver dans tout le membre supérieur.  Différents éléments peuvent en réduire l’espace tels que : des tensions du muscle petit pectoral, une côte surnuméraire (certaines personnes ont une côte supplémentaire au dessus de la première), ou le muscle scalène.  Le scalène et le petit pectoral peuvent devenir tendus en raison de défauts posturaux, de débalancement musculaire lié à des tâches répétitives ou un entraînement qui n’est pas bien balancé, etc.

 

Tunnel carpien

Les engourdissements de la main peuvent également provenir d’une blessure au tunnel carpien. Le tunnel carpien est en fait une structure ostéo-ligamentaire (formée d’os et de ligaments).  Ce tunnel contient des ligaments et différents muscles de la main et des doigts (fléchisseurs), des vaisseaux sanguins et des nerfs. Le principal nerf passant dans ce tunnel est le nerf médian.  La compression du nerf médian peut se produire suite à un trauma, une ténosynovite (inflammation de la gaine d’un tendon) ou de l’œdème lié à la grossesse.  Lorsque le nerf médian est comprimé, vous ressentez des picotements dans au bout quatre premiers doigts, mais pas dans la main.

Lésions des nerfs périphériques

Tel que mentionné ci-dessus, chaque racine provenant de la région cervicale innerve une zone des bras; il en est de même pour les nerfs périphériques qui sont dans vos bras.  Ceux-ci peuvent également entrer en jeu s’ils ont été lésés ou comprimés le long du trajet.  Par exemple, le nerf ulnaire peut être atteint lors d’une fracture de l’avant-bras. Une trop grande tension des muscles et des enveloppes des muscles et membranes peuvent diminuer la circulation d’influx dans votre nerf ulnaire et créer des engourdissements dans votre annulaire et auriculaire.

Le traitement

L’équipe de professionnels de chez Performance santé peut vous aider pour ces différents problèmes. Des combinaisons de techniques manuelles vertébrales, articulaires, myofasciales pourront vous aider à dégager les structures vasculo-nerveuses et augmenter la mobilité des structures enraidies. Des exercices vous permettront de maintenir les acquis effectués en clinique. Des tapings peuvent être utilisés pour vous aider. Des traitements d’aiguilles sèches, prodigués par une physiothérapeute pourraient aussi être utilisés dans l’optique de relâcher certains muscles ou pour diminuer l’inflammation.

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