Les bienfaits de la réflexologie sur le sommeil

Saviez-vous que la réflexologie peut avoir un effet bénéfique chez les personnes insomniaques? En effet, la réflexologie peut procurer une profonde détente et améliore en générale la qualité du sommeil, pour au moins quelques jours dépendamment de la cause des insomnies.

En réflexologie, les zones plantaires de l’encéphale sont travaillées pour améliorer la qualité du sommeil. Comme l’encéphale représente la «matérialisation» de nos pensées et de nos émotions, en manipulant sa zone réflexe nous participons à l’équilibre de notre esprit.

 Il est donc important de stimuler les 3 «étages» de l’encéphale avec précision.

D’autre part, les zones réflexes du système endocrinien peuvent également être stimulées, car certaines glandes sont très sensibles à notre affect (notamment la thyroïde). L’équilibre émotionnel et affectif semble donc jouer un rôle important dans la qualité du sommeil. 

En cas de stress ou de pressions affectant le sommeil, la zone des surrénales peut s’avérer particulièrement douloureuse et les zones plantaires du système digestif (notamment celles des intestins) peuvent être vérifiées, afin d’éliminer l’éventualité de troubles intestinaux. Ces zones réflexes agissent sur le sommeil et certaines zones planétaires seront plus concernées que d’autres. Le soin de réflexologie consiste à insister sur les zones douloureuses ou celles qui ont des tissus perturbés pour les aider.

N’hésitez pas à nous contacter si vous voulez savoir comment la réflexologie peut vous aider!

LES SOINS CHIROPRATIQUES

Découvrez ce qu’un chiropraticien peut faire pour vous aider.

Thérapie par ondes de chocs radiales (shockwave)

Qu’est-ce que c’est?

         Il s’agit d’une thérapie utilisant un pistolet à percussion qui envoie dans les tissus des ondes acoustiques de haute énergie.  Cette thérapie est utilisée lorsqu’une blessure est devenue chronique (plus de 6 mois) et ne démontre plus de processus de guérison. Le shockwave sert à réactiver la blessure et la réaction inflammatoire dans le but de réveiller le processus de guérison.  Cela nécessite quelques traitements, dépendamment de la blessure traitée.

Quels sont les mécanismes d’action?

         – Microtraumatismes localisés

         – Rugmentation de la circulation sanguine à la blessure

         – Reprise de la réaction inflammatoire

         – Nettoyage des déchets métaboliques

Ça peut traiter quoi?

         La thérapie par ondes de chocs radiales est efficace pour plusieurs blessures.  En clinque, nous traitons beaucoup de fasciites plantaires récalcitrantes. Cependant, l’éventail des blessures est beaucoup plus grande : tendinopathies (épaule, talon, coude, etc), névrome de Morton, bursites, tendons calcifiés, etc.

         Chaque blessure à son protocole.  Renseignez-vous à la clinique si vous êtes éligibles à cette thérapie!

La douleur chronique

Près de 56% de la population vivent avec une douleur sur une base régulière. Dans certains cas, on peut parler de douleur chronique. La douleur chronique se définit comme une douleur qui persiste au-delà du temps de guérison normale des tissus, qui est habituellement entre trois à six mois. Mais qu’est-ce qui est responsable de cette douleur si les tissus préalablement lésés ne le sont plus?

Pour répondre à cette question, il faut d’abord comprendre comment fonctionne la douleur. Pour ce faire, utilisons un système d’alarme pour faire une analogie :

Le système de la douleur est comme un système d’alarme. L’alarme peut être trop sensible ou bien déréglée. Ainsi, elle se déclenchera sans raison valable.

Plusieurs facteurs peuvent affecter le système de la douleur : le stress, l’anxiété, le sommeil et le fait d’avoir une douleur depuis un certain temps en sont quelques-uns. Ceux-ci peuvent venir sensibiliser le système nerveux en ajoutant, par exemple, des récepteurs nociceptifs (récepteurs de la douleur). Nous devenons, en quelque sorte, « meilleur » pour ressentir de la douleur, ce qui n’est pas nécessairement souhaitable à long terme. Par le fait même, la douleur chronique peut amener les gens à éviter l’activité physique, voir même jusqu’à s’isoler socialement.

Voici un site qui explique un peu plus en détail le fonctionnement de la douleur à l’aide de diaporamas imagés : https://www.retrainpain.org/francais

Que doit-on faire si on expérimente de la douleur chronique?

La douleur chronique est certainement incommodante, mais rassurez-vous, il est possible de poser des actions qui peuvent aider. Premièrement, il est toujours préférable de consulter un professionnel de la santé qualifié qui peut valider la présence de douleur chronique. Ensuite, comme la douleur chronique est, en quelque sorte, une sensibilisation du système nerveux, il convient de « désensibiliser » ce dernier. Pour ce faire, l’habituation via l’activité physique est un bon moyen d’entrainer son corps à bouger sans activer le système de la douleur. Les exercices doivent être faits dans un bon dosage pour permettre la désensibilisation désirée. Ainsi, lorsqu’on entraine notre corps en créant d’autres sensations, on vient diminuer l’excitabilité du système de la douleur. Par le fait même, on devient « meilleur » pour ressentir ces autres sensations et moins bon pour ressentir la douleur. En plus, l’activité physique permet la libération d’endorphine, qui constitue une « morphine naturelle ».

Finalement, il faut retenir que la douleur chronique est une condition pour laquelle il est possible d’intervenir afin d’améliorer la qualité de vie. N’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé pour vous aider.


Activité physique et cancer

Selon les statiques de 2019, le cancer est la principale cause de décès au Canada, 1 Canadien sur 2 développe un cancer au cours de sa vie et 1 canadien sur 4 décède du cancer chaque année.

La population est souvent informée de la prévalence du cancer, de ses causes et des traitements, mais plus subtilement sur la prévention du cancer et les moyens pour contrer les effets nocifs des traitements.

En 2010, l’American College of Sport Medicine confirmait que l’activité physique avait un impact positif avant, pendant et après les traitements du cancer. En 2019, de nouvelles recommandations plus spécifiques sur la prescription d’exercices ont été publiées. 

Les recherches ont démontré que l’activité physique pour la clientèle oncologique avait des bénéfices significatifs sur les symptômes suivant : 

Il est important pour les personnes atteintes d’un cancer d’être encadré par un professionnel de la santé qui connaît les recommandations en matière d’activité physique selon le type de cancer, le stade ainsi que les phases de traitements. De plus, il est important pour le kinésiologue de collaborer avec l’équipe médicale afin que la prise en charge soit optimale et spécifique au client. 

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à communiquer avec nous !
Sources : 

Gouvernement du Canada. 2019. Statistiques canadiennes sur la cancer.

 https://www.cancer.ca/~/media/cancer.ca/CW/cancer%20information/cancer%20101/Canadian%20cancer%20statistics/Canadian-Cancer-Statistics-2019-FR.pdf?la=fr-CA

Acupuncture et Grossesse
8 Faits à connaître!

1 : L’Acupuncture assiste le déroulement de la grossesse et prend en charge les petits maux quotidiens des femmes enceintes! 

2 : La stimulation de ce point (Rein 9) conduit à une relaxation de l’utérus et l’arrêt des contractions, prévient les fausses couches et améliore la circulation du sang dans le placenta.


3 : L’acupuncture permet d’éviter et de soigner efficacement les nausées et les vomissements durant les trois premiers mois de la grossesse.

4 : Aussi, tout au long de la grossesse l’acupuncture  aide à prévenir les infections urinaires, soulage efficacement les douleurs dans le bas du dos et le petit bassin.

5 : L’acupuncture est aussi utilisée pour aider le bébé à tourner dans la bonne position lorsqu’il se trouve en siège. Cette technique peut être effectuée à partir de la 32e semaine jusqu’à la 35e! 

6 : Pendant la seconde partie de la grossesse, l’Acupuncture aide à préparer l’accouchement, stabilise la tension artérielle, réduit les œdèmes et améliore le fonctionnement des reins. 

7 : L’Acupuncture est un bon outil pour la préparation à l’accouchement qui débute à la 37e semaine. Il est possible d’aider à déclencher le travail!

8 : Après l’accouchement, l’acupuncture aide à établir une bonne lactation, accélère le rétablissement physique et prévient la dépression post-partum.

Prenez rendez-vous avec notre Acupunctrice, Roxanne!

L’activité physique pendant la grossesse

De façon générale, les femmes enceintes ont tendance à diminuer leur niveau d’activité physique, voire même, arrêter complètement l’exercice par peur d’altérer le développement normal du fœtus. Allant à l’encontre des recommandations actuelles concernant l’activité physique lors de la grossesse, ce comportement est principalement dû à un manque de connaissances et/ou de motivation.

En effet, il a été démontré que l’activité physique chez les femmes enceintes s’avérait être positive, à plusieurs niveaux, pour le fœtus et pour la mère. Voici les raisons de pratiquer l’activité physique pendant la grossesse, les recommandations ainsi que les précautions à prendre. Que vous soyez déjà actives ou non, c’est une bonne période de votre vie pour bouger et prendre soin de vous ! 

Bénéfices liés l’activité physique

– Prévient la dépression et améliore l’humeur, l’image de soi et le bien-être global aide à la détente et à réduction du stress.

– Diminution de l’incidence de 25-33 % de l’hypertensionActivité physique diminue l’incidence du diabète gestationnel (25-70 %) chez les femmes à haut risque, risque très faible voire inexistant chez la femme active régulièrement avant et pendant la grossesse.

– Amélioration du retour veineuxDiminue la constipationAide au contrôle du gain de poids selon les normes excluant le gain de poids relié au placenta et au fœtus au cours de la grossesse et perte de poids plus rapide post-partum.

– Favorise le sommeilFacilite l’accouchement, diminue les interventions et les risques de césarienne.

– Prévient la perte de masse musculaire.

– Diminue les risques de pré-éclampsie.

– Diminue l’apparition de varices et de risque de thrombose.

– Diminue les problèmes/inconforts physiques.

– Améliore la qualité de vie pendant et après la grossesse.

– Diminue les risques de douleurs au bassin, d’incontinence urinaire et de douleurs au bas du dos.

Endurance cardiovasculaire

Recommandations FITT — Endurance cardiovasculaire
Fréquence3 à 5 fois par semaine
IntensitéModéré : respecter les fréquences cardiaques cibles selon la condition et l’âge OU 60 à 80 % du Vo2max.
Borg : 13 à 14 sur l’échelle de 6 à 20 (maximum de 16)
Temps30 minutes minimum
TypeÉviter les impacts et les sauts. Prioriser les exercices comme la natation, le vélo, la marche rapide, le ski de fond et l’aquaforme.

Entraînement contre-résistance

Recommandations FITT — Entraînement contre-résistance
Fréquence2 à 3 fois par semaine
Intensité1 à 3 séries
10 à 15 répétitions
4 à 12 exercices
Borg : 13 sur l’échelle de 6 à 20
Temps30 à 60 minutes total (incluant échauffement et retour au calme)
TypeExercices impliquant chaque grand groupe musculaire.

Précautions

– Respirer adéquatement pendant les exercices en évitant de retenir son souffle (technique de Valsalva).

– Éviter les étirements ballistiques, soit des mouvements rapides et non contrôlés qui peuvent engendrés des blessures.

– Éviter de s’étirer dans des amplitudes extrêmes afin de protéger les articulations et les ligaments.

– Éviter les redressements assis.

– Éviter de lever des poids de plus de 20 kg.

– Éviter les exercices couchés sur le dos après le 4e mois.

– Éviter les torsion, flexion et extension répétées.

– Éviter les environnements chauds et humidesRester hydratée.

– Éviter les environnements chauds et humides.

– Inclure un échauffement et un retour au calme.

– Éviter les activités qui augmentent les risques de perdre l’équilibre ou de causer un traumatisme au fœtus. Prioriser plutôt la marche rapide, le vélo stationnaire, le ski de fond, la natation et l’aquaforme.

– Éviter les exercices qui peuvent engendrer des traumatismes aux articulations et aux ligaments ou qui comportent des sauts affectant le centre de gravité comme la course ou le jogging.

Vous avez probablement déjà écouté les Olympiques et aperçu des athlètes arborant des tapings? Mais à quoi donc servent-il?

Tout d’abord, il faut savoir qu’il existe plusieurs types de tape. Chacun de ceux-ci présente des caractéristiques propres et le choix dépend des objectifs visés par le taping.

Les buts d’appliquer un taping peuvent être les suivants :

✓ Stabiliser une articulation dans une ou plusieurs directions

✓ Offrir un support ou une correction posturale

✓ Stimuler ou inhiber l’activité musculaire

Les différents types de taping:

Le taping athlétique est probablement le plus connu. De couleur blanche, ce tape est plutôt rigide. . Il servira à limiter des mouvements précis afin de protéger les tissus musculo-squelettiques désirés. Cependant, il est non-imperméable et offre une durabilité moyenne. Il sera donc utilisé pour une période de temps plus courte.

Taping athlétique blanc

Le leukotape P consiste en une alternative au taping athlétique. Il est plus rigide et offre donc un meilleur support. Il est aussi utilisé pour supporter ou stabiliser une articulation. Ce type de tape est un peu plus durable que le tape athlétique et est légèrement imperméable. De ce fait, on peut le porter pour une période allant de 1 à 3 jours.

Leukotape P

Le kinésiotape est sans doute celui que nous voyons le plus souvent dans les dernières années. Ce dernier est élastique, présente des ondulations sur sa surface collante et est imperméable. Les applications du K-tape sont, la plupart du temps, différentes des tapes précédents. En effet, en ajustant la tension dans le taping, il peut être utilisé pour :

– Activer ou inhiber l’activation musculaire

– Réduire la douleur

– Augmenter le drainage lymphatique pour diminuer l’œdème

Bien que plusieurs vertus lui soient conférés, davantage de recherches scientifiques est nécessaire afin de prouver certains de ces effets.

En conclusion, le taping consiste en une modalité thérapeutique utilisée par les professionnels de la santé. Ces derniers peuvent aisément déterminer si un taping est nécessaire pour votre condition. Notez bien que le tape demeure plus souvent un adjuvant au traitement. D’autres modalités comme la prescription d’exercices et la thérapie manuelle sont généralement essentielles.

Nous allons offrir les entraînements pré-saison de ski au Mont-Orford tous les dimanches du 4 octobre au 15 novembre, soit 7 entraînements, de 10h à 12h.

Pour vous inscrire https://www.gorendezvous.com/BookingWidget/?companyId=102921

Choisissez l’étiquette »voir les cours» , prochain cours et inscription. Le paiement ce fait directement avec une carte de crédit sur le lien.

Pour du support, téléphonez à la clinique au 819-847-3455

Le syndrome de stress tibial médial, communément appelé : « périostite »

Est caractérisé par une douleur au niveau de la surface interne du tibia. Cette condition est fréquente chez les athlètes exécutant des activités de course et de sauts! 

Comme son nom l’indique, il s’agit d’une atteinte du périoste. Une fine membrane de tissu conjonctif qui recouvre les os (plus précisément dans cette condition, le tibia). Cette membrane sert de point d’ancrage pour divers muscles. Une surcharge de ces muscles peut donc amener une traction excessive sur le périoste et ainsi mener à la périostite.

Symptômes

La douleur est le principal symptôme de la périostite tibiale :

La complication la plus fréquente de la périostite est la fracture de stress du tibia. Il sera donc important de reconnaitre les symptômes et d’intervenir pour éviter cette dernière! 

Les causes

La périostite découle principalement de 2 facteurs :

  1. Les erreurs d’entrainement : Par exemple, une progression inadéquate des entrainements, un changement soudain de parcours (plus de côtes), de surfaces ou de chaussures.
  2. Une biomécanique déficiente : Des altérations du patron de course, un manque de flexibilité ou une faiblesse musculaire sont tous des facteurs qui peuvent créer une surcharge musculaire précise et mener vers la périostite.


Traitements

Le traitement initial de la périostite implique le repos et une réduction du volume d’entrainements.

PHYSIOTHÉRAPIE 
Ensuite, une évaluation approfondie par un physiothérapeute est nécessaire pour mieux prendre en charge la périostite. Ce dernier identifiera les facteurs importants qui sont en cause dans la condition. Il pourra ensuite vous outiller afin de corriger les facteurs intrinsèques (faiblesses musculaires, altérations du patron de course, etc..) et extrinsèques (progression de l’entrainement, type de chaussure, etc…) afin que vous puissiez reprendre vos activités.

L’ACUPUNCTURE
Est également une modalité de traitement efficace pour les périostites!  Elle traite la douleur, l’inflammation et stimule la récupération suite aux blessures. Et ce, sans effets secondaires. Une solution sur mesure aux conséquences de l’entraînement, du surentraînement et des mouvements répétitifs qui y sont associés! 

CHIROPRATIQUE
Le chiropraticien peut identifier, diagnostiquer, traiter et vous aider à prévenir la douleur! Des exercices vous serons suggérer ainsi qu’un entretien régulier avec une fréquence ajustée à vos besoins.

PRENEZ RENDEZ-VOUS

EN LIGNE 819 847-3455