LES SOINS CHIROPRATIQUES

Découvrez ce qu’un chiropraticien peut faire pour vous aider.

Thérapie par ondes de chocs radiales (shockwave)

Qu’est-ce que c’est?

         Il s’agit d’une thérapie utilisant un pistolet à percussion qui envoie dans les tissus des ondes acoustiques de haute énergie.  Cette thérapie est utilisée lorsqu’une blessure est devenue chronique (plus de 6 mois) et ne démontre plus de processus de guérison. Le shockwave sert à réactiver la blessure et la réaction inflammatoire dans le but de réveiller le processus de guérison.  Cela nécessite quelques traitements, dépendamment de la blessure traitée.

Quels sont les mécanismes d’action?

         – Microtraumatismes localisés

         – Rugmentation de la circulation sanguine à la blessure

         – Reprise de la réaction inflammatoire

         – Nettoyage des déchets métaboliques

Ça peut traiter quoi?

         La thérapie par ondes de chocs radiales est efficace pour plusieurs blessures.  En clinque, nous traitons beaucoup de fasciites plantaires récalcitrantes. Cependant, l’éventail des blessures est beaucoup plus grande : tendinopathies (épaule, talon, coude, etc), névrome de Morton, bursites, tendons calcifiés, etc.

         Chaque blessure à son protocole.  Renseignez-vous à la clinique si vous êtes éligibles à cette thérapie!

Nous allons offrir les entraînements pré-saison de ski au Mont-Orford tous les dimanches du 4 octobre au 15 novembre, soit 7 entraînements, de 10h à 12h.

Pour vous inscrire https://www.gorendezvous.com/BookingWidget/?companyId=102921

Choisissez l’étiquette »voir les cours» , prochain cours et inscription. Le paiement ce fait directement avec une carte de crédit sur le lien.

Pour du support, téléphonez à la clinique au 819-847-3455

Le syndrome de stress tibial médial, communément appelé : « périostite »

Est caractérisé par une douleur au niveau de la surface interne du tibia. Cette condition est fréquente chez les athlètes exécutant des activités de course et de sauts! 

Comme son nom l’indique, il s’agit d’une atteinte du périoste. Une fine membrane de tissu conjonctif qui recouvre les os (plus précisément dans cette condition, le tibia). Cette membrane sert de point d’ancrage pour divers muscles. Une surcharge de ces muscles peut donc amener une traction excessive sur le périoste et ainsi mener à la périostite.

Symptômes

La douleur est le principal symptôme de la périostite tibiale :

La complication la plus fréquente de la périostite est la fracture de stress du tibia. Il sera donc important de reconnaitre les symptômes et d’intervenir pour éviter cette dernière! 

Les causes

La périostite découle principalement de 2 facteurs :

  1. Les erreurs d’entrainement : Par exemple, une progression inadéquate des entrainements, un changement soudain de parcours (plus de côtes), de surfaces ou de chaussures.
  2. Une biomécanique déficiente : Des altérations du patron de course, un manque de flexibilité ou une faiblesse musculaire sont tous des facteurs qui peuvent créer une surcharge musculaire précise et mener vers la périostite.


Traitements

Le traitement initial de la périostite implique le repos et une réduction du volume d’entrainements.

PHYSIOTHÉRAPIE 
Ensuite, une évaluation approfondie par un physiothérapeute est nécessaire pour mieux prendre en charge la périostite. Ce dernier identifiera les facteurs importants qui sont en cause dans la condition. Il pourra ensuite vous outiller afin de corriger les facteurs intrinsèques (faiblesses musculaires, altérations du patron de course, etc..) et extrinsèques (progression de l’entrainement, type de chaussure, etc…) afin que vous puissiez reprendre vos activités.

L’ACUPUNCTURE
Est également une modalité de traitement efficace pour les périostites!  Elle traite la douleur, l’inflammation et stimule la récupération suite aux blessures. Et ce, sans effets secondaires. Une solution sur mesure aux conséquences de l’entraînement, du surentraînement et des mouvements répétitifs qui y sont associés! 

CHIROPRATIQUE
Le chiropraticien peut identifier, diagnostiquer, traiter et vous aider à prévenir la douleur! Des exercices vous serons suggérer ainsi qu’un entretien régulier avec une fréquence ajustée à vos besoins.

La ventouse

La ventouse est un instrument en forme de cloche, fait de verre, de plastique ou de silicone!

Lorsqu’on l’a pose sur la peau, elle entraîne une succion qui tire la peau et les muscles vers le haut. Ce qui laisse le passage libre et permet aux amas de sang ou de liquides organiques de pouvoir circuler. C’est pourquoi on peut dire qu’elle a un effet décongestionnant!

Il y a donc de la place à ce qu’une nouvelle circulation sanguine plus oxygéné vienne irriguer les tissus!

Les effets de la ventouse :
– Réduit les raideurs
– Relâche les tensions musculaires
– Diminue la douleur 



Le Guasha 

Est un instrument qui est fait en métal, en plastique ou en pierre de jade! 

Avec une certaine pression, on l’utilise en ‘grattant’ la peau en sens unique. Le mouvement de grattage ‘Gua’ fait circuler les matières corporelles malsaines ‘Sha’ qui sont accumulés sous la peau.

Un peu comme la ventouse, ça apporte un nouveau flux sanguin plus oxygéné.

Ses effets : 

Ces deux outils sont très efficaces pour plusieurs types de douleurs en musculo-squelettiques! 

Plusieurs Québécois et Québécoises passent de longues périodes dans la voiture.  Nous y pensons rarement, mais ces longues périodes assis dans la même position devient un stress pour notre système musculo-squelettique.  Il est donc essentiel d’ajuster notre ergonomie avant chaque départ!

L’appui-tête sert à protéger notre cou en cas d’accident.  Il doit être à 10cm de notre tête et son milieu est vis-à-vis les yeux!

La distance et la hauteur du volant doivent permettre de garder les coudes légèrement fléchis et les poignets souples.  De plus, il est préférable de ne pas conduire sur le bout des pieds ou d’avoir les genoux trop fléchis!

         Petit truc pour de longs trajets : inclinez légèrement le dossier vers l’arrière, cela réduira un peu les tensions.  Prenez également des pauses.  Ainsi, vous pourrez faire quelques étirements comme des rotations de chevilles et des balancements de tête qui rendront vos trajets plus agréable!

Beaucoup de gens se demandent comment l’Acupuncture fonctionne! On peut la comprendre de deux façons : selon la Médecine Chinoise et selon la Médecine Contemporaine. 

Les recherches scientifiques et la technologie de pointe réussissent maintenant à fournir des résultats : l’effet de l’acupuncture s’explique par l’action de plusieurs systèmes biologiques du corps, notamment le système nerveux, hormonal, vasculaire et immunitaire. 

En voici des exemples : 

𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘀 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 & 𝗔𝗰𝘂𝗽𝘂𝗻𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲  1/7 

Les effets par : L’Imagerie fonctionnelle par résonance magnétique.

L’IRM du cerveau nous montre l’activation de zones et de structures précises du cerveau à la stimulation de points d’acupuncture. Par exemple, lorsqu’un point connu pour agir au niveau des yeux est stimulé, le cortex visuel du cerveau se voit activé. Lorsqu’un point est connu pour agir au niveau des oreilles, le cortex auditif du cerveau est activé. 

𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝘀 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 & 𝗔𝗰𝘂𝗽𝘂𝗻𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲  2/7

Les effets par : La Neurologie

L’étude sur la douleur a permis de démontrer que l’acupuncture a réellement un effet sur les fibres nerveuses spécifiques périphériques qui désactivent la transmission de la douleur au niveau du système nerveux central. 

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Les effets par : L’Électrophysiologie 

Les points d’acupuncture et les méridiens peuvent être détectés électriquement. Les recherches sur les propriétés bioélectriques, électro-physiques et électromagnétiques des points et des méridiens d’acupuncture soutiennent la possibilité que les méridiens agissent en tant que système de transport d’informations dans le corps.

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Les effets par : La Neuroendocrinologie

D’autres études démontrent l’action des neurotransmetteurs à divers niveaux du corps. Les substances telles que la béta-endorphine, l’enképhaline, la sérotonine et la substance P sont prouvées être mises à contribution lors de la stimulation des points d’acupuncture, expliquant ainsi l’action physiologique de l’acupuncture.

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Les effets par : Le Système circulatoire

Il a été démontré que la stimulation de certains points permet de changer la chimie du sang.🩸 On peut mesurer les variations sanguines d’éléments biomoléculaires tels que les immunoglobuline, les tromboxanes, les endothéliales et les prostacyclines, autant centrales que périphériques. 

Des études mettent en évidence qu’il se produit des changements quantitatifs sur certaines enzymes, hormones, globules rouges/blancs et les plaquettes!!

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Les effets par : Le Système lymphatique

D’autres effets de l’acupuncture s’opèrent via la circulation lymphatique qui sert de vecteur à un flux ionique le long des aponévroses musculaires et influence aussi la circulation des fluides interstitiels péri-vasculaires. Il y a donc modification des capacités osmotiques des membranes cellulaires.

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Les effets par : l’Action bio-électro-magnétique

Ainsi, on observe des modifications de l’électricité statique à la surface de la peau. On observe également une migration des ions dans le liquide interstitiel, provoquée par la stimulation de l’aiguille. L’acupuncture provoque aussi des phénomènes de semi-conduction au niveau des membranes musculaires.

Pour plus d’informations au sujet des études scientifiques abordées dans l’article, veuillez vous référer aux sources énumérées ci-dessus.

Sources:

Texte tiré du document L’acupuncture, au-delà des croyances, écrit par l’Association des acupuncteurs du Québec

A. Fargas-Babjak, MD, FRCPC, professeur, Département d’anasthésie, McMaster University London, Ont. Contemporary View on Neurobiology of acupuncture & Role of acupuncture in chronic pain

Dr Andrew Dainsberg, DMV, CVA, Santa Barbara, California, The science behind acupuncture

www.drfeely.com/doctors/acu

www.acupuncturetoday.com

www.elainegendreauacupuncteure

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Douleurs au bas du dos et tensions aux articulations sont les blessures les plus rencontrées durant la saison de jardinage

Elles peuvent être occasionnées soit par : 

– Un corps non réchauffé

– Des postures maintenues trop longtemps!

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Ce qu’on ne ferait pas pour entretenir notre cher lopin de terre! 🥕🥬 

Voici quelques conseils pour jardiner sans se blesser!

Avant de commencer à jardiner

• Se réchauffer en marchant un petit 200m

• S’étirer en douceur avec une série d’exercices d’étirement pour le cou, les épaules, les poignets, le dos et les jambes. 

 – Tenir les étirements de 20 à 30 secondes et les répéter une à deux fois avant et après votre activité.

• Faire une vingtaine de fois le mouvement de s’asseoir sur une chaise, qu’on appelle squat.

• Effectuer des cercles avec les bras, des flexions pour les jambes, de petites rotations du haut du corps de gauche à droite, toujours en position debout.


Pendant le jardinage

• Ne pas planifier plus de deux heures de jardinage par jour au début.

• Trouver une position confortable pour éviter de travailler à bout de bras ou d’avoir à vous retourner fréquemment.

• Bien s’agenouiller par terre pour planter les bulbes ou les graines; pour plus de confort, utiliser des protège-genoux ou un coussin.

• Bien fléchir les genoux si vous soulevez un sac de terre ou autre objet lourd.

• Changer de positions régulièrement et faire des pauses.

• Organiser vos projets sur plusieurs journées ou semaines au lieu de tout faire en une fin de semaine.

• Arrêter l’activité si vous ressentez une douleur.

N’hésitez pas non plus à demander de l’aide à quelqu’un pour soulever un sac de terre et de vous procurer de bons outils pour jardiner à l’aise et en toute sécurité.

Bonne saison et bons légumes! 

Performance Santé en télétravail

La pandémie du COVID-19 a certainement apporté beaucoup de changements à notre quotidien. Pour une grande partie d’entre nous, un changement significatif consiste à travailler de la maison. Cette chronique vise à vous partager quelques conseils afin d’optimiser votre performance et votre santé dans la réalisation de vos activités professionnelles au sein de votre domicile.

D’abord, saviez-vous que demeurer en position assise pour une durée supérieure à 8h/jour, sans activité physique supplémentaire, implique les mêmes méfaits en termes d’augmentation du risque de mortalité (58%) que le tabagisme et l’obésité? (Ekelund & al., 2016) En fait, les principaux aspects d’un travail en position assise qui sont responsables des effets néfastes sont 1) la mauvaise posture et 2) la durée prolongée. Ainsi, les recommandations transmises visent à vous outiller pour l’ajustement de votre poste de travail et l’intégration de micro-pauses ainsi que de pauses actives.

AJUSTEMENT DU POSTE DE TRAVAIL

Alignement corporel : Favoriser un angle de 90° aux hanches et aux genoux. Si l’ajustement de la chaise n’est pas possible, ajouter un coussin à l’assise ou un tabouret sous les pieds. Si vous n’avez pas d’appuis-bras, déposez vos avant-bras sur la surface de travail en favorisant le relâchement des épaules.

Support lombaire : Si votre chaise n’offre pas de support lombaire, rouler une serviette ou placer un coussin au niveau du dos.

Aménagement de l’ordinateur : Favoriser l’utilisation d’un écran, d’un clavier et d’une souris distincte (clavier et souris externe à un ordinateur portable). Positionner l’écran afin que le haut de celle-ci soit au même niveau que vos yeux (surélever sur des objets au besoin). Abaisser les petites pattes du clavier afin qu’il soit à plat sur la surface.

Téléphone : Utilisez l’option main libre ou un casque d’écoute si vous devez écrire en même temps.

Éliminer les reflets : Éviter de placer l’écran sous un luminaire, se placer perpendiculaire à la fenêtre, favoriser un contraste élevé entre le fond d’écran et l’écriture.

INTÉGRATION DE MICRO-PAUSES 

Le fait d’être assis à l’ordinateur pendant de longues périodes provoque souvent des raideurs au niveau du cou et des épaules et peut causer de la douleur dans le bas du dos. On recommande de faire les étirements toutes les heures au cours de la journée ou lorsque vous vous sentez ankylosé. 

ÉTIREMENTS AU POSTE DE TRAVAIL

Dans la mesure du possible, afin d’activer le cœur, les poumons et les muscles, intégrer des pauses actives, telles que marcher à l’intérieur de la pièce en parlant au téléphone, aller vous chercher un verre d’eau, utiliser une alarme pour vous rappeler de bouger toutes les heures, alterner les positions de travail (debout et assis).

BIEN QUE LES PÉRIODES D’INACTIVITÉ SOIENT INÉVITABLES, IL EST IMPORTANT D’ÊTRE PHYSIQUEMENT ACTIF

En fait, selon les conclusions d’une méta-analyse qui provient de données récoltées auprès de plus de 1 million d’hommes et femmes, il a été démontré que les personnes qui sont actives de 60 à 75 min / jour (activité physique d’intensité modérée, par exemple la marche rapide) ne semblent pas présenter de risque accru de mortalité, et ce même si elles restent assises plus de 8 h par jour. Ainsi, mise à part l’intégration de micropauses, il est également important de sortir pour marcher, jogger, faire de la bicyclette ou tout autre loisir actif pouavnt être pratiqué de façon individuelle!

Bonne quarantaine !

Émilie Vachon, Ergothérapeute

Favorisez votre bien-être psychologique

Les bonnes habitudes de vie à adopter pour favoriser la santé physique sont désormais bien connues et répandues au sein de notre société. Évidemment, nous pensons d’emblée à une alimentation saine et à la réalisation de l’activité physique régulière. Mais qu’en est-il de notre santé psychologique? Est-ce qu’il est possible d’adopter de saines habitudes permettant de favoriser notre bien-être psychologique? Eh bien oui!

Naturellement, nous rencontrons tous des situations déstabilisantes au cours de notre vie qui nécessitent que l’on fasse preuve de résilience. Les embûches placées sur notre route se présentent à différentes ampleurs. Parfois, il nécessite que l’on fasse davantage preuve de force psychique. En étant préparés adéquatement, nous sommes alors en mesure de REBONDIR plus aisément face aux épreuves de la vie.

Voici donc une recette des habitudes que je vous conseille d’intégrer graduellement à votre quotidien :

 

Le sommeil, le principal facteur de résilience!

Favoriser une bonne hygiène de sommeil se traduit par :

1) Dormir un minimum de 7 à 8 heures;

2) Maintenir la pièce sombre et fraîche (environ 17- 18°C);

3) Se lever toujours à la même heure.

 

Mais aussi d’éviter :

1) Les écrans au moins une heure avant le coucher;

2) La consommation de caféine (minimum 5 heures avant le sommeil);

3) L’alcool et les somnifères (interfèrent avec le sommeil paradoxal);

4) Les lumières (DEL entre autres), puisqu’ils inhibent 50% plus de mélatonine que les ampoules traditionnelles.

 

Des éléments nutritifs essentiels à la santé psychologique

– Des décisions qui sont alignées avec vos valeurs profondes. En fait, la recherche a démontré que la stratégie personnelle la plus importante pour éviter l’épuisement professionnel est d’identifier la partie de votre travail qui est particulièrement signifiante pour vous (alignée avec vos valeurs profondes) et de dévouer 20% de votre temps de travail à celle-ci. (Rothenberger, 2017, citant Shanafelt, 2016)

– Faire preuve de compassion, d’amour, de tendresse et de bienveillance envers vous-même et envers les autres.

– La gratitude : prendre le temps d’apprécier ce que vous avez et les gens qui vous entourent.

– Le pardon, pour soi et pour autrui.

 

Les activités à réaliser pour favoriser le bien-être psychologique

– Des activités permettant de se centrer pleinement dans une tâche et nécessitant des actions vigoureuses (ex. : entraînement physique, ménage…).

– La pleine conscience : des activités telles que la méditation et l’observation tranquille (ex. se concentrer sur les bruits et les odeurs en plein air).

– Des activités qui comblent vos besoins principalement en créant, mais aussi en appréciant ce qui est créé par les autres (ex. : créations artistiques, cuisine, musique…).

– Des activités vous permettant de vous sentir productif et valorisé (ex. : travail, bénévolat, prendre soin d’un membre de la famille…).

– Des activités vous permettant de conserver, voir bâtir, vos liens d’appartenance (ex. : soirée entre amis, souper en famille, faire partie d’une équipe sportive).

En bref, la résilience est indissociable du sens et de l’attention portée aux plaisirs simples.

 

Tout comme il est essentiel d’augmenter graduellement la distance parcourue lors de la préparation à un marathon, je vous suggère aussi d’intégrer de façon progressive ces différentes habitudes à votre quotidien pour assurer leur pérennité. Commencez par vous fixer 2 à 3 objectifs personnalisés, parmi l’ensemble des recommandations ci-dessus. Malgré tout, cela peut s’avérer complexe… Afin d’être accompagné dans l’intégration de ces changements ou de mieux comprendre les principes sous-jacents à ces recommandations, faites appel à notre ergothérapeute!

 

Au plaisir de vous rencontrer,

Émilie Vachon, Ergothérapeute

 

*Cette chronique est inspirée de la présentation La santé psychologique : les leçons de la résilience de Rachel Thibeault, M.Sc., Ph.D., FCAOT, O.C, ergothérapeute et spécialiste en résilience en date du 23 octobre 2019.

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