Découvrez ce qu’un chiropraticien peut faire pour vous aider.
Thérapie par ondes de chocs radiales (shockwave)
Qu’est-ce que c’est?
Il s’agit d’une thérapie utilisant un pistolet à percussion qui envoie dans les tissus des ondes acoustiques de haute énergie. Cette thérapie est utilisée lorsqu’une blessure est devenue chronique (plus de 6 mois) et ne démontre plus de processus de guérison. Le shockwave sert à réactiver la blessure et la réaction inflammatoire dans le but de réveiller le processus de guérison. Cela nécessite quelques traitements, dépendamment de la blessure traitée.
Quels sont les mécanismes d’action?
– Microtraumatismes localisés
– Rugmentation de la circulation sanguine à la blessure
– Reprise de la réaction inflammatoire
– Nettoyage des déchets métaboliques
Ça peut traiter quoi?
La thérapie par ondes de chocs radiales est efficace pour plusieurs blessures. En clinque, nous traitons beaucoup de fasciites plantaires récalcitrantes. Cependant, l’éventail des blessures est beaucoup plus grande : tendinopathies (épaule, talon, coude, etc), névrome de Morton, bursites, tendons calcifiés, etc.
Chaque blessure à son protocole. Renseignez-vous à la clinique si vous êtes éligibles à cette thérapie!
La douleur chronique
Près de 56% de la population vivent avec une douleur sur une base régulière. Dans certains cas, on peut parler de douleur chronique. La douleur chronique se définit comme une douleur qui persiste au-delà du temps de guérison normale des tissus, qui est habituellement entre trois à six mois. Mais qu’est-ce qui est responsable de cette douleur si les tissus préalablement lésés ne le sont plus?
Pour répondre à cette question, il faut d’abord comprendre comment fonctionne la douleur. Pour ce faire, utilisons un système d’alarme pour faire une analogie :
Le système de la douleur est comme un système d’alarme. L’alarme peut être trop sensible ou bien déréglée. Ainsi, elle se déclenchera sans raison valable.
Plusieurs facteurs peuvent affecter le système de la douleur : le stress, l’anxiété, le sommeil et le fait d’avoir une douleur depuis un certain temps en sont quelques-uns. Ceux-ci peuvent venir sensibiliser le système nerveux en ajoutant, par exemple, des récepteurs nociceptifs (récepteurs de la douleur). Nous devenons, en quelque sorte, « meilleur » pour ressentir de la douleur, ce qui n’est pas nécessairement souhaitable à long terme. Par le fait même, la douleur chronique peut amener les gens à éviter l’activité physique, voir même jusqu’à s’isoler socialement.
Voici un site qui explique un peu plus en détail le fonctionnement de la douleur à l’aide de diaporamas imagés : https://www.retrainpain.org/francais
Que doit-on faire si on expérimente de la douleur chronique?
La douleur chronique est certainement incommodante, mais rassurez-vous, il est possible de poser des actions qui peuvent aider. Premièrement, il est toujours préférable de consulter un professionnel de la santé qualifié qui peut valider la présence de douleur chronique. Ensuite, comme la douleur chronique est, en quelque sorte, une sensibilisation du système nerveux, il convient de « désensibiliser » ce dernier. Pour ce faire, l’habituation via l’activité physique est un bon moyen d’entrainer son corps à bouger sans activer le système de la douleur. Les exercices doivent être faits dans un bon dosage pour permettre la désensibilisation désirée. Ainsi, lorsqu’on entraine notre corps en créant d’autres sensations, on vient diminuer l’excitabilité du système de la douleur. Par le fait même, on devient « meilleur » pour ressentir ces autres sensations et moins bon pour ressentir la douleur. En plus, l’activité physique permet la libération d’endorphine, qui constitue une « morphine naturelle ».
Finalement, il faut retenir que la douleur chronique est une condition pour laquelle il est possible d’intervenir afin d’améliorer la qualité de vie. N’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé pour vous aider.
Selon les statiques de 2019, le cancer est la principale cause de décès au Canada, 1 Canadien sur 2 développe un cancer au cours de sa vie et 1 canadien sur 4 décède du cancer chaque année.
La population est souvent informée de la prévalence du cancer, de ses causes et des traitements, mais plus subtilement sur la prévention du cancer et les moyens pour contrer les effets nocifs des traitements.
En 2010, l’American College of Sport Medicine confirmait que l’activité physique avait un impact positif avant, pendant et après les traitements du cancer. En 2019, de nouvelles recommandations plus spécifiques sur la prescription d’exercices ont été publiées.
Les recherches ont démontré que l’activité physique pour la clientèle oncologique avait des bénéfices significatifs sur les symptômes suivant :
Il est important pour les personnes atteintes d’un cancer d’être encadré par un professionnel de la santé qui connaît les recommandations en matière d’activité physique selon le type de cancer, le stade ainsi que les phases de traitements. De plus, il est important pour le kinésiologue de collaborer avec l’équipe médicale afin que la prise en charge soit optimale et spécifique au client.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à communiquer avec nous !
Sources :
Gouvernement du Canada. 2019. Statistiques canadiennes sur la cancer.
1 : L’Acupuncture assiste le déroulement de la grossesse et prend en charge les petits maux quotidiens des femmes enceintes!
2 : La stimulation de ce point (Rein 9) conduit à une relaxation de l’utérus et l’arrêt des contractions, prévient les fausses couches et améliore la circulation du sang dans le placenta.
3 : L’acupuncture permet d’éviter et de soigner efficacement les nausées et les vomissements durant les trois premiers mois de la grossesse.
4 : Aussi, tout au long de la grossesse l’acupuncture aide à prévenir les infections urinaires, soulage efficacement les douleurs dans le bas du dos et le petit bassin.
5 : L’acupuncture est aussi utilisée pour aider le bébé à tourner dans la bonne position lorsqu’il se trouve en siège. Cette technique peut être effectuée à partir de la 32e semaine jusqu’à la 35e!
6 : Pendant la seconde partie de la grossesse, l’Acupuncture aide à préparer l’accouchement, stabilise la tension artérielle, réduit les œdèmes et améliore le fonctionnement des reins.
7 : L’Acupuncture est un bon outil pour la préparation à l’accouchement qui débute à la 37e semaine. Il est possible d’aider à déclencher le travail!
8 : Après l’accouchement, l’acupuncture aide à établir une bonne lactation, accélère le rétablissement physique et prévient la dépression post-partum.
Prenez rendez-vous avec notre Acupunctrice, Roxanne!
De façon générale, les femmes enceintes ont tendance à diminuer leur niveau d’activité physique, voire même, arrêter complètement l’exercice par peur d’altérer le développement normal du fœtus. Allant à l’encontre des recommandations actuelles concernant l’activité physique lors de la grossesse, ce comportement est principalement dû à un manque de connaissances et/ou de motivation.
En effet, il a été démontré que l’activité physique chez les femmes enceintes s’avérait être positive, à plusieurs niveaux, pour le fœtus et pour la mère. Voici les raisons de pratiquer l’activité physique pendant la grossesse, les recommandations ainsi que les précautions à prendre. Que vous soyez déjà actives ou non, c’est une bonne période de votre vie pour bouger et prendre soin de vous !
– Prévient la dépression et améliore l’humeur, l’image de soi et le bien-être global aide à la détente et à réduction du stress. – Diminution de l’incidence de 25-33 % de l’hypertensionActivité physique diminue l’incidence du diabète gestationnel (25-70 %) chez les femmes à haut risque, risque très faible voire inexistant chez la femme active régulièrement avant et pendant la grossesse. – Amélioration du retour veineuxDiminue la constipationAide au contrôle du gain de poids selon les normes excluant le gain de poids relié au placenta et au fœtus au cours de la grossesse et perte de poids plus rapide post-partum. – Favorise le sommeilFacilite l’accouchement, diminue les interventions et les risques de césarienne. – Prévient la perte de masse musculaire. – Diminue les risques de pré-éclampsie. – Diminue l’apparition de varices et de risque de thrombose. – Diminue les problèmes/inconforts physiques. – Améliore la qualité de vie pendant et après la grossesse. – Diminue les risques de douleurs au bassin, d’incontinence urinaire et de douleurs au bas du dos. |
Recommandations FITT — Endurance cardiovasculaire | |
Fréquence | 3 à 5 fois par semaine |
Intensité | Modéré : respecter les fréquences cardiaques cibles selon la condition et l’âge OU 60 à 80 % du Vo2max. Borg : 13 à 14 sur l’échelle de 6 à 20 (maximum de 16) |
Temps | 30 minutes minimum |
Type | Éviter les impacts et les sauts. Prioriser les exercices comme la natation, le vélo, la marche rapide, le ski de fond et l’aquaforme. |
Recommandations FITT — Entraînement contre-résistance | |
Fréquence | 2 à 3 fois par semaine |
Intensité | 1 à 3 séries 10 à 15 répétitions 4 à 12 exercices Borg : 13 sur l’échelle de 6 à 20 |
Temps | 30 à 60 minutes total (incluant échauffement et retour au calme) |
Type | Exercices impliquant chaque grand groupe musculaire. |
– Respirer adéquatement pendant les exercices en évitant de retenir son souffle (technique de Valsalva). – Éviter les étirements ballistiques, soit des mouvements rapides et non contrôlés qui peuvent engendrés des blessures. – Éviter de s’étirer dans des amplitudes extrêmes afin de protéger les articulations et les ligaments. – Éviter les redressements assis. – Éviter de lever des poids de plus de 20 kg. – Éviter les exercices couchés sur le dos après le 4e mois. – Éviter les torsion, flexion et extension répétées. – Éviter les environnements chauds et humidesRester hydratée. – Éviter les environnements chauds et humides. – Inclure un échauffement et un retour au calme. – Éviter les activités qui augmentent les risques de perdre l’équilibre ou de causer un traumatisme au fœtus. Prioriser plutôt la marche rapide, le vélo stationnaire, le ski de fond, la natation et l’aquaforme. – Éviter les exercices qui peuvent engendrer des traumatismes aux articulations et aux ligaments ou qui comportent des sauts affectant le centre de gravité comme la course ou le jogging. |